Le mélanome, cancer de la peau dont le développement est lié en partie à un exposition excessive au soleil, touche chaque année près de 18 000 personnes en France.
Une enquête pour identifier les pistes
Bien que son pronostic soit favorable lorsqu’il est détecté tôt, avec plus de 90 % de survie à cinq ans, sa prise en charge précoce demeure un défi majeur. L’enquête Dermatocare, grâce au soutien institutionnel des Laboratoires Pierre Fabre, a permis d’identifier certaines pistes pour optimiser cette prise en charge.
La détection précoce des lésions suspectes
S’il n’est pas diagnostiqué précocement, la maladie peut se propager à d’autres organes, réduisant ainsi les chances de guérison. Il est donc essentiel de sensibiliser la population à la protection solaire et à la détection précoce des lésions suspectes.
Des inégalités dans la prise en charge
L’enquête Dermatocare, menée auprès de 100 professionnels de santé (dermatologues et onco-dermatologues principalement) a mis en lumière des inégalités dans la prise en charge du mélanome à travers le pays.
Sensibiliser le grand public à la protection solaire
C’est pourquoi des initiatives concrètes pour contribuer à l’optimisation de la prise en charge des patients atteints de mélanome ont été aussitôt mises en oeuvre : La sensibilisation du grand public au risque solaire, la formation des médecins généralistes, l’accompagnement des oncologues ainsi que des journées d’accompagnements des patients.
Didier Galibert
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